Il est évident que Seal & Go est conscient du fait que le film étirable et le film rétractable nuisent à l’environnement et contribuent à la problématique de la pollution plastique dans les océans. Nous considérons comme notre responsabilité d’améliorer la qualité de notre film et de nous concentrer sur l’innovation. Notre rêve ultime est de proposer un concept complet de protection des bagages qui ne nuit en aucun cas à l’environnement.
La responsabilité sociale est une exigence du personnel, de la direction et des consommateurs. Fournir la meilleure qualité possible d’un côté et être aussi respectueux de l’environnement que possible de l’autre nous motive à être la marque la plus innovante de notre secteur. Seal & Go a toujours été à l’avant-garde en matière de solutions innovantes, et nous veillerons à rester à la pointe, surtout lorsqu’il s’agit d’une question aussi importante que l’environnement. Nous nous concentrons sur l’utilisation de moins de film et sur l’utilisation d’un type de film plus écologique.
Notre machine de scellage n’a besoin que d’une seule couche de film rétractable d’environ 2 mètres pour protéger un bagage. Le film de scellage n’ajoute qu’environ 75 grammes au bagage. L’emballage des bagages nécessite plusieurs couches de film étirable (environ 13 mètres), ajoutant environ 200 grammes au bagage.
Le film rétractable Seal & Go utilisé pour le scellage des bagages contient de 80 à 100 % de matières premières issues du recyclage (PCR). Le film étirable Seal & Go utilisé pour l’emballage des bagages contient 100 % de PCR. Le PCR est une matière première fabriquée à partir de polyéthylène basse densité (LDPE) qui a déjà eu une vie antérieure en tant que produit plastique sur le marché de la consommation.
Le film biodégradable peut être décomposé par des bactéries ou d’autres organismes vivants, évitant ainsi la pollution. Cependant, il est important de garder à l’esprit que l’efficacité de la dégradation dépend des conditions environnementales spécifiques. De plus, la plupart des plastiques soi-disant biodégradables utilisés par nos concurrents ne sont en réalité pas biodégradables mais oxo-dégradables. Les plastiques oxo-dégradables se désintègrent initialement et se retrouvent dans l’environnement sous forme de minuscules fragments de plastique, qui sont à l’origine du problème des microplastiques auquel le monde est actuellement confronté. En réalité, ils ne se dégradent pas complètement et sont donc encore plus nuisibles pour l’environnement.